2/ LES OBJECTIFS FONDAMENTAUX DE LA FMDEA.
L’Afrique du XXI è siècle qui, pour survivre aux guerres civiles et militaires, au terrorisme et à la pauvreté, a besoin de la diversité de sa ‘’matière grise’’, euro-africaine, installée en Europe, pour prendre le risque de changer en Afrique trois structures politiques fondamen- tales, grâce à la volonté de la Fédération Mondiale de la Diversité des Euro-Africains bi-continentaux. Le but fondamental de la Fédération Mondiale de la Diversité Euro-Afrique (FMDEA) est de :
1/ Participer au changement des leaders politiques africains défaillants à leur mission de la noblesse d’Etat en raison de niveau scolaire et universitaire de leur capital humain sans vision pour leur propre pays, ‘’La force de l’Afrique réside dans son Union’’.
2/ Participer au changement du capital immatérielque l’on appelle la qualité des structures politiques de l’Union Africaine par une démocratie pluraliste continentale et une méritocratie pour chacun des talents politiques. ‘’La force de l’Afrique réside dans son Union bi-continentale des euro-africains’’.
3/ Participer au changement de l’esprits des leaders politique et de l’africanisation de la culture des Etats souverains en une Fédération Mondiale des Etats-régions ou des Etats-districts, voire des Etats-länder d’Afrique, avec un pacte bi-continental à la fois de l’Union Européenne (UE) et l’Union Africaine (UA), avec la valeur ajoutée de la Fédération Mondiale de la Diversité Euro-Africains (FMDEA), porteuse de la volonté de réaliser de ce projet bi-continental en laisser à la postérité de nos enfants un continent propre et propère avec les valeurs de la démocratie, la méritocratie, ‘’le vivre ensemble’’, ‘’le compter sur soi’’ , le retour des ‘’cerveaux en fuite’’ au bercail, le savoir -être, le savoir-vivre, le savoir-dépasser les problèmes de pouvoir personnel d’un pays au profit d’une Union africaine. ‘’La force de l’Afrique réside dans son Union bi-continentale des euro-africains’’’. A ce titre, elle réussira affronter la modernisation et la mondialisation sans frontière, sinon est politiquement biodégradable.
4/ De combler le vide des sociétés politiques africaines par les leaders visionnaires binationaux et bi-continentaux qui, avec de la société civile locale de l’Africain, pensent aux générations futures avec une Union Africaine stable, généreuse, partageant la ‘’même matière grise’’ et la ‘’même matière première’’ de l’économie entre l’Europe et l’Afrique, avec la même déclaration d’un manifeste d’union politique et économique. C’est un rêve et une utopie politique pour nous, pas pour nos enfants. ‘’La force de l’Afrique réside dans son Union bi-continentale avec les Euro-africains’’.
2/ De combler ce projet de société bi-continentale par la mise en place des observa-toires locales Euro-Africains pour préparer les binationaux de la société civile à créer des ONG à la fois dans les pays européens et les pays africains avec la même vision du développement de l’Union Africaine (UA) avec un pacte de partenariat bi-continental avec l’Union Européenne (UE), les mêmes politiques publiques en Afrique, les mêmes leaders associatifs, les mêmes leaders politiques formés par la FMDEA avec le même modèle économique, avec le même projet de société de l’Union Africaine lié à l’Union Européenne. ‘’La force de l’Afrique réside dans son Union bi-continentale avec les Euro-africains’’.
3/ De combler les besoins en leaders visionnaires bi-continentauxpour l’Afrique qui confie son destin à la gestion déléguée des entreprises publiques aux Européens (Eau, électricité, ramassage des ordures ménagères, recyclage des produits, transports urbains etc..), confie sa gestion aux sociétés de Développement local (SDL et les SDR), aux investissements des PPP (Participation Publique Privé), à l’offset, compensation industrielle, sociétés de l’évènement, de participation, d’autoroute, des hôpitaux, de l’éducation, la santé, transport, de l’agriculture, de l’habitat et le sport collectif dont la totalité des joueurs en football sont des binationaux, sinon des bi-continentaux qui jouent en eux dans la Confédération Mondiale Africaine de Football[1](CAF). Pas un joueur mono-national dans les grandes équipes d’Afrique. Cette situation paradoxale qui est courante en Afrique au niveau sportif, pourquoi n’est elle pas valable dans le monde de la politique et la gestion des affaires ? ‘’La force de l’Afrique réside dans son Union bi-continentale avec les euro-africains’’.
4/ De combler les compétences de l’Afrique par la diversité des bi-continentaux, éparpillées et dispersées dans de nombreux pays, soit en Europe, soit d’Afrique, soit aux Etats Unis ou ailleurs en vue de constituer dans le cadre d’une société civile donnant nais-sance aujourd’hui en date du 15 et 16 janvier 2018 à Bruxelles, symbole considérée comme la capitale de l’Europe une Organisation Non-Gouvernementale (ONG) dont le nom fédérateur est intitulé ‘’Fédération Mondiale de la Diversité Euro-Afrique’’ (FMDEA).
5/ De combler par la société civile dont la FMDEA,ce qui a été décider par 5e sommet Union africaine (UA) et Union Européenne (UE), en date du 30 novembre 2017, la déclara-tion commune adoptée exposant les priorités communes pour le partenariat UE-Afrique dans quatre domaines stratégiques: 1/ Perspectives économiques pour les jeunes, 2/ Paix et sécurité, 3/ Mobilité et migration, 4/ Coopération sur la Bonne Gouvernance des leaders politiques en Afrique.
L’Union Afrique (UA) et L’Union Européenne (UE) sont au centre de la plupart des débats (inter) nationaux et particulièrement pour la diversité des binationaux à cheval entre les deux cultures continentales. Ces débats sur les nouvelles sociétés à risque politique, à risque religieux, à risque terrorisme, à risque des mouvements migratoires de la jeunesse, sont sans doute, liés à des raisons de conjonctures économiques, climatiques, démographiques, le stress hydriques et la sécurité alimentaire, le stress des maladies incurables de santé etc..
Celles-ci ne font que dévoiler les véritables sept (7) ou huit (8) scénarios de l’Afrique de 2025 suscités, problématiques que pose la FMDEA qui, seront très largement étudiées et diffusées par les think tank, se consacrent pour une très large part à l’étude des relations triangulaires entre la démocratie pluraliste pour tous et la méritocratie pour chacun et le développement de l’Afrique, la relation entre le projet des nouvelles sociétés inclusives des bi-continentaux, la formation des nouveaux leaders de la société civile et la bonne gouvernance, la relation des bi-continentaux au service de l’Union Européenne et le co-développement dans l’offshoring, la compensation industrielle, la création des Sociétés de Développement Local et Régional (SDR ou SDR) la gestion déléguée des secteurs sensibles : l’éducation, la santé, l’agro-industrielle, le transport, l’habitat, la régionalisation, la formation de nouveaux leaders africains à dimension continentale etc.
La mutation des modes de gestion des Etats répond à la mutation des changements de la société à transition énergétique, à transition numérique et à transition climatique, répond à la mutation des sociétés de confiance africaine au détriment des sociétés de méfiance, répond à la mutation des sociétés à risque politique, au profit de nouvelles sociétés laïques et pacifiques dont les croyances chrétiennes, judaïques et islamiques se métamorphosent en des ‘’religions laïques’’, respectant, de facto et de juré, les sociétés d’Etat de droit et du citoyen.
Ce sont ces nouveaux débats de société qui vont permettent à la FMDEA de créer des directions de recherche scientifique pour répondre au changement de la mondialisation des sociétés africaines, répondre à la formation des nouveaux leaders bi-continentaux, répondre aux nouvelles valeurs l’Union Africaine en mouve- ment dans l’incertitude du futur.
La FMDEA qui, au service à la fois de l’Europe et de l’Afrique par ses bi-continentaux, prend le risque de bouger et de remuer le coquetier des structures rentières en Afrique à partir de la capitale européenne, mais le risque pour l’UE est de prendre le risque de ne pas bouger en vue de préparer le changement et le renouvellement des leaders politiques et économiques en Afrique, le changement des structures démocratiques et le changement de la culture des modes de gestion et de la bonne gouvernance.
La mondialisation de la gestion des multinationales à dimension internationale (PPP, SDL, SDR, la compensation industrielle, et les Offset, les offshoring, les énergies renouvelables, la gestion déléguée de l’eau, l’électricité, les ordures domestiques, les transports urbains, les TVG, les gestion des 3 D : réduire les distances entre les régions, la pression démographique et le Développement etc.) va inexorablement vers les valeurs universelles de la démocratie pluraliste laïque pour éviter les actions collectives du terrorisme international à connotation religieuse :
1/ La fin des sociétés à économie de rentes en Afrique au profit de la compétitivité économique 2/ Fin des sociétés à rentes de situations politiques en Afrique au profit de la méritocratie 3/ La fin des sociétés à rente de situations religieuses en Afrique au profit de la laïcité des Etats modernes 4/ La fin des Etats de E sans taille critique au profit de l’Union Africaine des Etats-districts. 5/ La fin des Partis Politiques conservateurs au profit des Partis modernes de la société civile. 6/ La fin de ‘’la démocratie sans peuple’’ au profit de la démocratie pluraliste 7/ La fin des Partis Politiques ‘’voyous’ au profit des Partis politiques visionnaires et continentaux.
En définitive, comme le résume le Pdt Ronald Reagan des (USA) :‘’The greatest leader is not necessarily the one who does the greatest things. He is the one that gets the people to do the greatest things’’ (en Français : ‘’Le plus grand chef n’est pas forcément celui qui fait le plus de choses. Il est celui qui amène les gens à faire les plus grandes choses »). Les nouveaux leaders de la Fédération Mondiale de la Diversité des Euro-Africains (FMDEA).seront signataires d’une Charte avec des valeurs.
[1]La Confédération Africaine de Football(CAF), est l’organisme qui regroupe, sous l’égide de la FIFA, les Fédération Mondiales de football du continent africain. Il a fallu attendre 1956 pour les quatre (4) pays africains membres seulement de la FIFA.